Ci-dessous quelques photos de l'Université Centrale du Venezuela (UCV) où je vais passer une partie de mes journées. Seulement les mardi et jeudi car les autres jours, la bibliothèque centrale de l'UCV n'est pas accessible aux étudiants extérieurs à l'Université. Toutes les universités et instituts de recherche de Caracas semblent fonctionner de la sorte. Pourquoi pas après tout, mais cela risque de compliquer sérieusement l'organisation de mon emploi du temps, d'autant plus qu'il est impossible d'emporter les ouvrages à l'extérieur des salles de consultation. Ces précautions n'ont pas empêché la disparition des fonds bibliothécaires du premier ouvrage que j'ai voulu consulter, le Poder y Petroleo en Venezuela de Luis. E. LANDER...
Edifice de la bibliothèque centrale de l'UCV |
Plus agréable que les couloirs de la fac de clermont. |
A noter qu'il est possible au sein même de l'Université d'acheter tout type d'ouvrage à des tarifs défiant toute concurrence à des marchands installés dans le "passillo de los derechos". J'en ai donc profité pour m'acheter deux premiers petits livres. Reste à savoir comment je vais les ramener en France sans avoir à m'acquitter d'une taxe supplémentaire pour les bagages.
Au rayon des curiosités, les campagnes d'affichage du gouvernement tiennent leur rang. Ci-dessous une bien jolie campagne afin de favoriser la délation. "Dénonce les vendeurs de drogue, appelle le...". Sympa. Peut-être ce trafiquant français a t-il fait l'objet d'une telle délation?
D'autres photos des campagnes d'affichage du gouvernement viendront.
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