CARACAS - Le président du Venezuela Hugo Chavez salue et soutient la décision de l'Argentine d'exproprier 51% de la compagnie pétrolière YPF, contrôlée par le groupe espagnol Repsol, a déclaré le chef de la diplomatie vénézuélienne Nicolas Maduro.
Le président vénézuélien salue et soutient la décision annoncée par le gouvernement de la présidente Cristina Fernandez (Kirchner) de nationaliser la principale entreprise pétrolière argentine (YPF), a déclaré lundi Nicolas Maduro, qui a lu un communiqué officiel sur la chaîne de télévision officielle VTV.
Le gouvernement vénézuélien rejette les menaces ou les tentatives d'intimidation venues d'Europe à l'égard de la République argentine et demande aux nations soeurs du continent d'accompagner l'Argentine dans l'exercice de ses droits souverains, a-t-il poursuivi.
La présidente argentine Cristina Kirchner a déclenché lundi une crise avec l'Espagne en annonçant l'expropriation partielle (à hauteur de 51%) de la compagnie pétrolière YPF, contrôlée par l'espagnol Repsol.
Repsol YPF est le leader sur le marché des combustibles en Argentine. Sa filiale argentine YPF, privatisée dans les années 1990, contrôle 52% des capacités de raffinage du pays et dispose d'un réseau de 1.600 stations-service.
Ces dernières semaines YPF, accusée de ne pas assez investir en Argentine s'était vu retirer 16 concessions pétrolières par une demi-douzaine de provinces argentines.
Le gouvernement de Cristina Kirchner fait pression sur les compagnies pétrolières pour qu'elles augmentent leur production sur le territoire argentin, la facture pétrolière du pays ayant bondi l'an dernier de 110%, pour atteindre 9,4 milliards de dollars.
REPSOL-YPF
Le président vénézuélien salue et soutient la décision annoncée par le gouvernement de la présidente Cristina Fernandez (Kirchner) de nationaliser la principale entreprise pétrolière argentine (YPF), a déclaré lundi Nicolas Maduro, qui a lu un communiqué officiel sur la chaîne de télévision officielle VTV.
Le gouvernement vénézuélien rejette les menaces ou les tentatives d'intimidation venues d'Europe à l'égard de la République argentine et demande aux nations soeurs du continent d'accompagner l'Argentine dans l'exercice de ses droits souverains, a-t-il poursuivi.
La présidente argentine Cristina Kirchner a déclenché lundi une crise avec l'Espagne en annonçant l'expropriation partielle (à hauteur de 51%) de la compagnie pétrolière YPF, contrôlée par l'espagnol Repsol.
Repsol YPF est le leader sur le marché des combustibles en Argentine. Sa filiale argentine YPF, privatisée dans les années 1990, contrôle 52% des capacités de raffinage du pays et dispose d'un réseau de 1.600 stations-service.
Ces dernières semaines YPF, accusée de ne pas assez investir en Argentine s'était vu retirer 16 concessions pétrolières par une demi-douzaine de provinces argentines.
Le gouvernement de Cristina Kirchner fait pression sur les compagnies pétrolières pour qu'elles augmentent leur production sur le territoire argentin, la facture pétrolière du pays ayant bondi l'an dernier de 110%, pour atteindre 9,4 milliards de dollars.
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